Dans sa dernière enquête, l’administration a relevé que 60 % des places de marché sur internet contreviennent à la réglementation dans le domaine des compléments alimentaires en utilisant des allégations frauduleuses.
« Nombre de professionnels méconnaissent encore la réglementation applicable aux allégations thérapeutiques, nutritionnelles ou de santé ». C’est le constat de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) dans sa dernière enquête de 2020 sur les marketplaces des compléments alimentaires. Sur 75 opérateurs contrôlés et 130 visites, 60 % ne sont pas en conformité avec la réglementation, en particulier sur les allégations qui doivent figurer sur une liste positive (règlement CE n° 1924/2006).